lundi 16 juillet 2012

§§§§ SUITE A UNE SATURATION DE MON BLOG AU NIVEAU DU NOMBRE DE PHOTO
JE VAIS POURSUIVRE CELUI CI AVEC DES FILMS ET UN PEU DE TEXTE

samedi 16 juin 2012

VERS LA PAZ 3




DIMANCHE 10 JUIN

grosse journée de velo entrecoupé par un arret dans un village , c'est dimanche et jour de marché , les indiens descendent de leurs montagne te generalement bien vétu pour vendre et acheter. Vu que c'est un village ou generalement aucun touriste ne s'arrette , je suis l'attraction du coin , les boliviens viennent sans cesse me poser des questions sur mon voyage , certain ne connaisse pas la france d'autres sont capables de me demander de suite si je suis de paris , moi qui voudrait etre discret pour faire des photos de ces magnifiques tenues bariolées c'est pas gagné. Mais ils ont l'air d'etre moins gené par l'appareil photo et sont plus facile a photographier.je continue ma route , j'essaye de sovoir ou je suis mais difficile d'avoir de bonne information ,un policier me donnera 5 KM pour le village
que je veut atteindre alors qu'il est a 20 km , mais comme il me disait c'est une approximation il faut dire que parfois il ne savent pas lire et essaye quand meme de vous renseigner, les personnes suivantes seront plus precise et m'indiqueront un village ou dormir . Pas tres reluisant en pleine reconstruction car la bolivie est en plein travaux et en attendant que tout soit propre et joli pour l'instant c'est le foutoir . Je trouve un charmant hotel pour 2, 5 euros , un lit une porte sans verrou et lorsque je demande ou sont les toilettes l'on m'indique le fond de la cour contre le mur . Celui la je le classe 4 etoiles car j'ai droit a la lumiere , il y aurait eu une prise de courant je le classais dans palace.

 
 
 
 
 
 
 
 



LUNDI 11 JUIN

je quitte mon tres bel hotel, la route continue de monter comme la frequentation de la route , on s'approche de la capitale et la circulation s'intensifie de meme que la conduite devient de plus en plus sportive . Les premiers nuages depuis bien longtemps font leurs apparitions ,ainsi qu'un vent de plus en plus froid. Ce soir je dors dans une espece de fondation toutes les chambres sont prises par les entreprises qui travaille pour le passage en double voie de la liaison LAPAZ ORURO et il me propose une chambre qui fait office de debarras mais confortable avec la tele , ils l'arrangent en vitesse , une fois de plus ils sont tres sympa et irons meme voir le responsable du resto qui travaille pour les entreprises pour que je puisse y diner , au menu soupe de poulet et bien sur ils ne voudrons pas que je paye , je dois avoir l'air tres pauvre , a voyager en velo .
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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VENDREDI 8 JUIN

j'arrive sur ORURO la grande ville du coin . La premiere approche de la ville ne m'emballe guere , grande zone industrielle qui n'en finit pas avec ses norias de camions qui quitte la route pour soulever des tonnes de poussieres sur les terre pleins, puis les marchés de seconde zones ou a la va vite on peut tout trouver des tournevis aux poulets en passant par les chaussettes de l'armée suisse.
J'arrive enfin dans le centre ville , alors la attention aux voitures , les boliviens roulent biens mais vu l'organistions des feux et des priorités faut etre vigilant d'autant plus que le centre est vieux et le s rues etroites .

 
 
 
 
 



SAMEDI 9 JUIN

ballades aux marché pour chasser des portraits mais cen'est pas evidents car ils sont generalement contre surtout les femmes autochtones , c'est assez amusant de voir ces femmes dans leurs tenues traditionnelles avec leur enfant gigotant dans le dos alors qu'elle sont en train de recevoir un appel sur leurs portable derniers cri . La ville fourmille de petites echoppes vendant du portable et du materiel dernier cri.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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VER LA PAZ 1




LUNDI 4 JUIN

on repart , direction LAPAZ , le debut est fastidieux comme d'habitude quitter les grandes villes est toujours compliquée , aucune indication , si on demande une chance sur deux que la reponse soit fausse , je prefere demander a un policier . La premiere partie est facile ca descend vite entre de hautes falaises , ca pele mais je vais bientôt me rechauffer car ensuite j'ai droit a 50 km de montée.
Je pose ma tente a la va vite devant quelques maisons.

 
 
 
 


MARDI 5 JUIN

on remet ca cela monte toujours , je fais une pause forcée , les boliviens qui travaillent a l 'entretien de la route veulent savoir ce que je fais la , avec un vélo si loin de mon pays. Le vent commencent a souffler maintenant je suis remonter aux alentour de 4300 m d'altitude et ce vent d'ouest qui était previsible commence a m'enerver . Ce soir je monte ma tente a l'abri d'un enclos en pierre pour lama

 



MERCREDI 6 JUIN

une journée fatiguante m'attends , le vent d'ouest va etre virulent toute la journée, m'obligeant a pedaler dans les descentes, ce que j'adore.je perds de l'altitude pour me retrouver apres un passage dans des gorges sur un vaste plateau ou je retrouve des cultures et de l'elevage ovins et bovins et oui a 3700 M d'altitude on trouve des vaches. Je pose ma tente devant un lac artificiel .vu que c'est totalement a decouvert j'attendrais la nuit pour monter la tente.

 


EUDI 7 JUIN

toute la journée je vais longer un immense lac que je ne verrais jamais , j'ai rejoins la route principale qui rejoint LAPAZ , les villages sont plus consequents mais ne prete guere a l'envie d'y faire du tourisme , sortie de la route principale goudronnée les ruelles adjacentes sont en terre defoncée par les gros camions , les ordures débordent de partout et les sac plastiques avec les vents d'altitudes se retrouvent vite dans la campagne. Je trouverais un village un peu plus sympa pour passer la nuit dans un ospedaje .
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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