vendredi 2 décembre 2011

MEXIQUE 1

 
14 NOVEMBRE

on repasse la frontiere , vu le paysage qui defile, je ne regrette pas du tout mon choix, de plus les barrages de l'armée et de la police pour controler le trafic de drogue ne sont pas des plus buccoliques. retour dans mon bel hotel avec fenetre donnant sur le mur du voisin


15 NOVEMBRE

je passe la journée a chercher ces fabuleux magasin de velo , je vais faire 20 km a pieds ( a velo trop dangereux) dans cette grande ville pour m'apercevoir des lacunes de google map , je vais faire choux blancs aussi bien pour les magasin de vélo que les librairies ( j'essaye de trouver un dictionnaire franco espagnol). Soit les magasin n'existent pas ou ils sonts fermes depuis une dizaine d'années. Tant pis






16 NOVEMBRE

vu mon retard qui grandit je prends un bus pour ciudad VIALLES . 8 heures de bus tres confortable avec de jolies films de serie B . au niveau bus ils ont de bonnes compagnies et cela revient pas cher.
Je me trouve a mon arrivée un hotel de bon standing avec internet et télé pour 11 euros( a droite en sortant de la gare routiere). Je dois travailler un peu la receptioniste pour qu'elle accepte que je monte le velo dans ma chambre.



17 NOVEMBRE

je fais connaissance avec les routes mexicaines et je me demande si cela ne serait pas plus confortable et sur de rouler sur une piste en terre, la route par elle meme n'est pas terrible , du gros gravier mais en plus apparement elle est pas faite pour les cyclistes si j'en juge les voitures et camions qui me frolent . Ici les autocthones roulent sur le gravier pourri du bas coté ou dans l'herbre

il fait très lourd, et vers 14 H un joli motel me dit de m'arretter. Normalement c'est un complexe avec parcs de jeux , mais il est fermé pour maintenance et on est en semaine , il n'y a personne.
La chambre est normalement a 350 PESOS mais vu que je partais car trop cher , il me propose 250 pesos et moi je lui reponds qu' a 200 c'est dans mes moyens. Il accepte car de toutes facons en semaine il n'a personne et meme a 200 je uis une aubaine . Il me donnera meme la chambre juste a coté de la piscine et m'accompagera tout en me questionnant sur mon vélo.



 




 





18 NOVEMBRE

ce matin il fait lourd et les nuages couvrent la campagne, quelque chose me dit que j'ai bien fait de me lever tot, ma carte qui couvre tout le mexique est assez precise mais pas assez pour savoir ou je suis .ici les villages sont tres champetres rue en terre , des barraque ou l'on vends la cuisine local,
pas de voiture neuves , les gens me regardent parfois etonné ,souvent indifferrent les vacances d'un touristes ne sont la priorité des paysans locaux . Cette vallée est apparement specialisé dans les pepinieres toutes les maisons vendent des plants de toutes sortes. Et ce qui devait ariiver arriva, la pluie, parfois violentes et pour le reste de l'apres midi ce sera pareil . J'arrive trempée a TAMAZUNCHALE , gros bourg local je me trouve un hotel juste devant la place . J'aurais pu choisir plus luxueux mais celui ci est juste au milieu de la vie local .























19 NOVEMBRE

traversée buccolique dans la campagne , tres vallonnée , route etroite mais pas de bas coté donc les voitures et camions font plus attention ; certaines voitures me klaxonne ou me font un signe de la main , je traverse tout un pan de vallée ou l'economie locale est la fabrication de chaises , meuble dans une tres jolie essence de bois. Je croise une procession , je crois que c'etait la fete des morts ce jour ci. Arrivée dans la ville , pas mal de militaires armes au poing, policier super armés. Mais bon apparement c'est normal , rien de particulier.












20 NOVEMBRE

des le début , je sens le coup fourré, une grande ville est indiqé a 200KM alors que moi sur ma carte c'est 150KM . Bon au début ca monte ca je le supposait mais au KM 15, la c'est une route en lacet qui m'attends ; je me dit que cela ne va pas durer. au bout d'une heure de montée bien raide , enfin la descente , oui pas pour longtemps 4 km au plus et ca remonte. Une heure apres, ba ca monte encore mais la je rentre dans la brume , la route se faufile entre les precipices , la foret tropicales est surchargée d'humidité .et moi je commence a etre suchargée d'acide lactique.
La temperature commence a fraichir lorsque j'aborde enfin une descente qui m'amene a un village noyé dans la brume ,la nuit va tombé et j'ai de la chance car il y a un tout petit hotel . Le temps de m'installer et je vais au coin de l'hotel ou une petite echoppe roulante fait d'exelent hamburger mais a la mode mexicaine .






21 NOVEMBRE

je fais un tour au village pour voir si il y a matiere a prendre des photos malgres mon appareil qui commence serieusement a deconner ( la chute de yellowstone je pense), il y a un cour cicuit au niveau de l'objectif et cela bloque l'appareil , impossible de prendre une photo. Je suis donc obligé de mettre un bout de plastique sur les contacts de l'objectif mais cela impose maintenant de faire mes photos en mode manuel et plus d'autofocus.
Ceci dit j'ai bien fait de jeter un coup d'oeil sur la place du village car aujourd'hui c'est le centenaire de la revolution mexicaine , il y a les officiels c'est a dire l'administration , la police , les enfants des ecoles bien sur . J'ai droit a l'hymne mexicain , a une montée du drapeau laborieuse , la foule est assez nombreuse mais il y a aussi au marché pas mal de monde que la ceremonie n'interresse pas.
Il faut remonter sur le velo et comme par miracle ca monte encore j'aurais droit a une petite descente et par la suite une sucession de montée , j'ai les jambes en compote et tres vite cela n'avance plus , je fais des pointes a 7 km/h . les paysages de foret tropicales ont fait place a quelques paturages , arrivée au village de MOLANGO , je prends la courageuse decision d'arretter
pour me mettre dans un charmant petit hotel juste a coté de la place . Le village est assez sympa et a gardé un aspect colonial assez prononcé avec ces 2 grandes statues sous les palmiers .

















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1 commentaire:

  1. Super voyage, mon Poussin.
    Courage, vers le sud, ça descend forcement...
    J.Simon

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